• 2013 : Démarche du « Système de Management Environnemental »,  car depuis de longues années une mise en place a été initiée pour une gestion qualitative sauvegardant le milieu naturel du Château Cassagne Haut-Canon.

• 2010 : Jean-Jacques Dubois est nommé Chevalier de l’Ordre du Mérite Agricole par Bruno le Maire, Ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche.

• 2005-2008 : Suite au décès de Charles Dubois, le fils, Jean-Jacques quitte la SARL Charles Dubois & fils. La commercialisation est restructurée par le couple Zita et Jean-Jacques Dubois. Zita s’attache également à développer les dimensions commerciales, marketing et communication indispensables au rayonnement du château et de sa production. Il s’agit de redonner à Cassagne l’envergure internationale et moderne à laquelle il prétend.

• année 2000 marque le début de la crise viticole. Le processus de commercialisation a évolué vers un  nouveau fonctionnement, au sens où les stocks restent à disponibilités des négociants sur les domaines. Les négociants tendent à réduire leurs stocks.

• 1997 : Commercialisation en primeur définitivement instaurée avec le Millésime 1996, à travers le groupe Expression de Fronsac.

• 1989 : Premières ventes en Primeur. Robert Parker, critique américain, a dégusté La Truffière 1989 et lui attribue la note de 90-95/100, pour la première fois en Fronsac. La Truffière est alors mieux notée que certains crus classés.

• 1988 : Rachat d’1 hectare de vigne

• 1985 : Naissance de la « Truffière », grâce à une grande connaissance des complexités et des richesses du terroir.

• 1983 : Premier millésime vinifié dans sa globalité par Jean-Jacques Dubois.

• 1982 : Après une terminale scientifique et agricole suivie d’un BTS viticulture et œnologie à Bordeaux Blanquefort, Jean-Jacques Dubois clôtura son parcours à la faculté d’œnologie de Talence, dans un souci de perfectionnement et de diversification face à une formation très technique.

• 1975 : Plantation des chênes truffiers

• Années 1970 : Reconstitution du vignoble, valorisation du domaine par des travaux de terrassement et de dérochage pour atteindre 12 hectares. Instauration de la mise en bouteilles au château. Développement rapide de l’activité commerciale.

• 1956 : Rachat du domaine par Charles Dubois, corrézien, d’origine rurale. Fin connaisseur du terroir, il reconnaît en Cassagne un domaine riche en sous-sols et moins touché par le gèle de 1956 que ses voisins. Le domaine était jusqu’alors la propriété de campagne d’un médecin bordelais, 3 hectares sur 9 sont alors cultivés.